"...don't be stuck in the every day reality, allow yourself to dream, have faith in your wildest dreams." [AaRON]

"Ne restez pas scotchés à la réalité quotidenne. Permettez-vous de rêver. Croyez en vos rêves les plus fous..." [AaRON]

mardi 31 mai 2011

MUSIQUE : JAMES BLUNT "1973"


James BLUNT : "1973"

Simona

You're getting older

Your journey's been etched

On your skin


Simona

Wish I had known that

What seemed so strong

Has been and gone
I would call you up everyday Saturday night

And we'd both stay out 'til the morning light

And we sang, "Here we go again"

And though time goes by

I will always be

In a club with you

In 1973

Singing, "Here we go again"


Simona
Wish I was sober

So I could see clearly now

The rain has gone



Simona
I guess it's over
My memory plays our tune

The same old song
I would call you up everyday Saturday night
And we'd both stay out 'til the morning light

And we sang, "Here we go again"

And though time goes by
I will always be
In a club with you
In 1973
Singing, "Here we go again"

I would call you up everyday Saturday night

And we'd both stay out 'til the morning light

And we sang, "Here we go again"
And though time goes by
I will always be
In a club with you
In 1973
Singing, "Here we go again"

I would call you up everyday Saturday night

And we'd both stay out 'til the morning light
And we sang, "Here we go again"
And though time goes by

I will always be
In a club with you
In 1973
Singing, "Here we go again"
And though time goes by
I will always be
In a club with you

In 1973*

Thanks to : http://www.greatsong.net/PAROLES-JAMES-BLUNT,1973,102925268.html#ixzz1NxPO5I4T

* In 1973, I was at the Sorbonne in Paris, studying anthropology (Roland).

samedi 28 mai 2011

MUSIQUE : RADIOHEAD "CREEP"




RADIOHEAD : "Creep"

DROIT DE SUITE (NOUVELLE RUBRIQUE)

J'inaugure aujourd'hui cette rubrique pour "donner une suite" aux sujets d'actualité que j'ai précédemment abordés. Je n'oublie pas en effet, les personnes et les faits qui m'ont enthousiasmé, révolté, ou interpellé d'une manière ou d'une autre. J'ouvre cette rubrique pour suivre l'évolution de ces sujets et vous faire partager mon opinion.


L'affaire Wikileaks et Julian Assange

Les dernières informations que nous ayons pu trouver sur cette affaire sont sur le site de OWNI. site né en avril 2009 dans la lutte contre la loi Hadopi. Selon leur charte éditoriale, OWNI est engagé en faveur de la neutralité numérique et ses articles sont publiés sous la licence C.C (Creative Commons) Julian Assange, fondateur de Wikileaks, était alors toujours en résidence surveillée chez un journaliste anglais qui lui avait offert l'hospitalité en Grande-Bretagne dans l'attente d'un jugement de la justice anglaise qui déciderait ou non de l'extrader vers la Suède suite à des accusations de viol (tiens, ça nous rappelle quelque chose !!!). Les Etats-Unis, quant à eux, espèrent que son extradition leur permettrait à leur tour de l'inculpation de haute trahison pour avoir divulgué des documents militaires secrets, ce qui, dans la grande démocratie que sont les Etats-Unis, et pourrait lui valoir la peine de mort !!!    

World Revolution Not Seen on TV- Rallies Around the World- Please Repost



World revolution is on march.

jeudi 26 mai 2011

MUSIQUE : JEFF BUCKLEY "HALLELUJAH"



J'avais déjà publié en  2008 cette magnifique interprétation d'Hallelujah de Leonard Cohen par Jeff Buckley  mais elle avait été supprimée. La voici de nouveau.

Hallelujah


I've heard there was a secret chord

That David played, and it pleased the Lord

But you don't really care for music, do you?

It goes like this

The fourth, the fifth

The minor fall, the major lift

The baffled king composing Hallelujah

Hallelujah

Hallelujah

Hallelujah

Hallelujah


Your faith was strong but you needed proof

You saw her bathing on the roof

Her beauty and the moonlight overthrew you

She tied you to a kitchen chair

She broke your throne, and she cut your hair

And from your lips she drew the Hallelujah


Baby I have been here before

I know this room, I've walked this floor

I used to live alone before I knew you.

I've seen your flag on the marble arch

Love is not a victory march

It's a cold and it's a broken Hallelujah


Hallelujah, Hallelujah

Hallelujah, Hallelujah


There was a time you let me know

What's really going on below

But now you never show it to me, do you?

And remember when I moved in with you

The holy dove was moving too

And every breath we drew was Hallelujah


Hallelujah, Hallelujah

Hallelujah, Hallelujah


Maybe there’s a God above

But all I’ve ever learned from love

Was how to shoot at someone who outdrew you

It’s not a cry you can hear at night

It’s not somebody who has seen the light

It’s a cold and it’s a broken Hallelujah


Hallelujah, Hallelujah

Hallelujah, Hallelujah


You say I took the name in vain

I don't even know the name

But if I did, well really, what's it to you?

There's a blaze of light in every word

It doesn't matter which you heard

The holy or the broken Hallelujah


Hallelujah, Hallelujah

Hallelujah, Hallelujah

I did my best, it wasn't much

I couldn't feel, so I tried to touch

I've told the truth, I didn't come to fool you

And even though it all went wrong

I'll stand before the Lord of Song

With nothing on my tongue but Hallelujah


Hallelujah, Hallelujah

Hallelujah, Hallelujah

Hallelujah, Hallelujah

Hallelujah, Hallelujah

Hallelujah, Hallelujah

Hallelujah, Hallelujah

Hallelujah, Hallelujah

Hallelujah, Hallelujah

Hallelujah

MUSIQUE : AIR TRAFFIC "TIME GOES BY"



Air Traffic : "Time goes by"

MUSIQUE : AIR TRAFFIC "NO MORE RUNNING AWAY"



Air Traffic - No more running away

MUSIQUE : LES RITA MITSOUKO "DING, DANG, DONG"


Les Rita Mitsouko "Ding Dang Dong (Ringing At... par lesritamitsouko

mercredi 25 mai 2011

CINEMA : "MIDNIGHT IN PARIS" DE WOODY ALLEN (2011)


Je ne suis pas un grand fan de Woody Allen, mais "Midnight in Paris", son dernier film, sans être un "chef d'oeuvre" comme le dit le critique de Télérama, est un beau film, nostalgique, cultivé, émouvant... et plein d'humour.

Une ode à Paris, à la littérature, à la musique, à la peinture et au cinéma. Voir ma critique sur Cinérock07

CARNET BLEU



Cet extrait d'un très beau livre que je suis en train de lire, "Entre chiens et loups" de Malorie Blackman (Paris, éd. Milan, 2005).

Dans un monde dirigé par des noirs qui ont le pouvoir, la richesse, et dominent la société, les blancs sont traités comme l'étaient les noirs par les blancs du temps de l'apartheid. L'amour entre Sephy et Callum est interdit.

"Tu crois ? Alors pourquoi est-ce que je me sens si vide ? Je sais que je vivais dans un monde imaginaire, mais au moins... au moins, j'étais quelque part. Aujourd'hui, je ne suis nulle part."

Lynette, soeur de Callum, peu avant de se jeter sous un bus.

VERS LA FIN D'HADOPI ?


Hadopi : « loi folle », projet « mort-né », « la destruction du Net »


Il n’y avait pas que des adeptes d’un « Internet civilisé » à l’e-G8. Les détracteurs de ce modèle promu par Nicolas Sarkozy étaient aussi présents. Petit verbatim
Enfin du nouveau sur cette loi absurde, inique et liberticide contre laquelle nous nous sommes érigé dès ses débuts erratiques :

"L'e-G8 aura eu son petit « contre-sommet ». En marge du forum, la Quadrature du Net organisait ce mercredi matin une conférence de presse pour faire entendre la voix de ceux qui s’opposent à la régulation d’Internet, telle que Nicolas Sarkozy la souhaite. Selon l’association qui milite pour la liberté d’expression sur la Toile, les mesures voulues par le président de la République pour « civiliser » le Net déboucheront sur la censure et la surveillance des citoyens.


Le modèle de Nicolas Sarkozy est d’ailleurs loin de faire l’unanimité, y compris parmi les invités officiels de l’e-G8. La réponse française à la question du droit d’auteur sur Internet, en particulier, ne convainc pas tout le monde. La Hadopi en prend pour son grade. Morceaux choisis.

John Perry Barlow, cofondateur de l’Electronic Frontier Foundation, ancien parolier du groupe Grateful Dead. (...) cet activiste, fervent défenseur des libertés individuelles, a abordé le thème de la propriété intellectuelle, sur le même plateau que Frédéric Mitterrand, ministre de la Culture et Pascal Nègre, patron d’Universal Music France.

John Perry Barlow a commencé par leur donner sa propre définition de la création artistique : « Je ne viens pas de la même planète [que les gens qui participent au débat, NDLR]. Je suis peut-être le seul à gagner ma vie en créant ce que ces messieurs ont l’air ravis d’appeler la propriété intellectuelle. Je ne considère pas ma création comme une propriété. Une propriété, c’est quelque chose que l’on peut me prendre […] La propriété intellectuelle ne s’applique pas à l’expression. »

Et d’interpeller Frédéric Mitterrand sur la tentation de renforcer les mesures de contrôle de la diffusion des contenus en ligne, au profit de « certains milieux d’affaires ». Il appelle à un comportement éthique et moral. Selon lui, le renforcement de mesures toujours plus restrictives pour défendre la propriété intellectuelle aboutira à casser le Net. « Si on commence par contrôler la propriété intellectuelle, on finira pas contrôler également toutes les formes d’expression qui nous déplaisent », souligne John Perry Barlow, pour qui Internet constitue une opportunité incroyable pour l’humanité. « Pour la première fois dans l’histoire, il est possible d’accorder à chaque être le droit de savoir […], le droit de s’exprimer, voilà un héritage crucial que nous pouvons laisser à nos enfants ».

Lawrence Lessig, professeur de droit et promoteur du concept de « free culture », et créateur des licences Creative Commons.


Ce spécialiste du droit d’auteur, défenseur d’une alternative au copyright, a également fustigé les tentatives du gouvernement français pour réguler Internet et encadrer le droit d’auteur en ligne. « Bien sûr, il nous faut un système de droit d’auteur qui garantit la rémunération des créateurs, reconnaît M. Lessig. Nous en avons besoin. Mais la réponse des gouvernements occidentaux pour protéger le droit d’auteur n’est pas la bonne, selon lui. « Elle favorise ceux [les industries, NDLR] qui sont déjà en place au détriment des autres qui sont porteurs d’innovation », explique le juriste qui met directement en cause la réponse graduée française, qualifiée d’idée mort-née. Le système en place a vécu, il nuit à l’innovation selon M. Lessig qui finit par une mise en garde destinée aux gouvernants : « Méfiez-vous de ceux qui sont en place et vous demandent des solutions. Ils veulent augmenter leurs profits, mais vous, vous devez vous préoccupez de l’intérêt collectif. […] L’avenir de l’Internet, ce n’est pas Twitter, Facebook ou Google. L’avenir de l’Internet n’est pas ici. Il n’a pas été invité. […] Le moins que l’on puisse faire c’est de protéger l’architecture du réseau et son avenir pour garantir celui de ceux qui ne sont pas encore dans cette salle. »



Xavier Niel, patron d’Iliad.

L’entrepreneur français est un habitué des déclarations anti-Hadopi. Invité officiel de l’e-G8, il n'a pas raté l’occasion de rappeler son hostilité au dispositif français : « La loi française n’est pas bonne. Si vous piratez, le gouvernement français vous coupe Internet. Vous n’avez plus accès à Internet. C’est fou. On ne peut pas faire cela. On peut faire ce que l’on veut, donner une amende, mais pas couper Internet aux gens. »

Le forum se terminera ce soir avec une déclaration commune des participants. Leurs propositions seront soumises aux chefs d’Etat du G8, qui se déroulera à Deauville les 26 et 27 mai 2011.

Article de Stéphane Long, repris du site 01.net [http://www.01net.com/editorial/533563/hadopi-loi-folle-projet-mort-ne-la-destruction-du-net/] en date du 25/05/2011

vendredi 20 mai 2011

CINEMA : "LE GAMIN AU VELO" DES FRERES DARDENNE (2011)


Samantha, une coiffeuse, rencontre par hasard Cyril, un gamin de 12 ans qui cherche son père qui, ne pouvant l'assumer, l'a provisoirement abandonné dans un foyer pour enfants. Cyril est un écorché vif. Samantha le recueille comme son propre fils. Cela pourrait être un mélo. C'est un beau film, tendre et émouvant, qui fait du bien. A voir absolument. Lire ma critique sur Allociné (20/05/2011)

samedi 14 mai 2011

POETRY/POESIE : ANNO'S POETRY


J'ai découvert Anno sur le disque de Jane Birkin, "Arabesque" publié en 2002. Elle y lit un poème de son neveu, Anno, qui venait de mourir dans un accident de voiture en revenant d'une séance d'enregistrement (il était musicien) sur l'autoroute conduisant à Milan. Je viens de réécouter ce poème et il me bouleverse.
Je transcris ici l'émouvante présentation qu'en fait Jane Birkin sur le disque :

"Voici un poème de Anno. Anno était le fils de mon frère. Il est mort avec ses musiciens dans un accident il y a quelques mois. Il avait 20 ans. Il avait écrit des chansons depuis qu'il avait 12 ans et je veux croire que les poètes ne meurent pas si on les porte en nous et avec nous et je le porte avec fierté. Je veux aussi croire à cette petite éternité de deux minutes. C'est la vôtre en écoutant la poésie d'Anno."

.
Photo d'Anno Birkin peu avant son accident

Voici mon modeste essai de traduction :

Anno :  "Close To The River" (Près de la rivière) texte écrit à Pâques 2001

The Tower walls at midnight burn,
Les murs de la Tour brûlent à minuit, 
With fraught desire - the rocks beneath,
Avec un désir enfoui  - les rochers en-dessous,
Are sharp, and wet with fictions blood.
Sont pointus, et trempés du sang des fictions
Someone leaps, the other turns ... but who is who.
L'un saute, l'autre fait marche arrière... mais qui est qui
Forget what you want, but
Oublie ce que tu veux, mais
Don't forget the link that grew me.
N'oublie pas le lien qui m'a fait grandir.
That travels deeply,
Qui voyage en moi,
Through me in the form of every
A travers moi, dans la forme de chaque
Thought that I think.
pensée qui me traverse.
The Loathing and the Love,
La haine et l'amour
Bubbling together at the
Bouillonnent ensemble
Brink of my emotion.
au bord de mon émotion
This commotion started
Ce désordre s'installa
Long before my face was ever
Longtemps avant que mon visage ne soit
Etched into the Wall of time.
Gravé dans le mur du temps
I have both your madnesses inside.
J'ai à la fois tes deux folies en moi
I am in constant disagreement with myself.
Je suis en constant désaccord avec moi-même
But I cannot leave me.
Mais je ne peux pas me quitter
You both cannot leave me,
pas plus que tu ne peux me quitter
nor one-another, believe me!
ni l'un, ni l'autre, nous ne le pouvons, crois-moi !
I am the ring that won't slip off with soap.
Je suis l'anneau qu'on ne peut faire glisser de son doigt avec un peu de savon
You've broken the armies inside me,
Tu as fait s'affronter des armées à l'intérieur de moi
And now they stand poised and opposed ...
Et maintenant, elles se défient et s'opposent
Now there is blood.
Maintenant, tout baigne dans le sang
Now there is love standing, covered in glory,
Maintenant, il y a l'amour, couvert de gloire,
and honour lies covered in mud.
et l'honneur étendu dans la boue
You and I, Ma, we built too close to the river.
Toi et moi, Ma*, nous avons construit trop près de la rivière
Look at us washing our minds free of fever.
Regarde-nous lavant nos esprits de leur fièvre
Brushing off bird shit and bad dreams forever.
Nettoyant pour toujours la fiente des oiseaux qui nous salit et les mauvais rêves
And never once turning the tide
Et jamais la marée n'a inversé son cours
Thank you for pains and concerns
Merci pour les souffrances et les soucis
That have made me,
Qui m'ont fait,
In turn more
Encore plus 
Unhappy and kind.
Malheureux et bon
I am proud to remind them of you.
Je suis fier de leur faire penser à toi. 

* "Ma" désigne sa mère, Bee Gilbert, dont il était très proche. C'est ce qu'écrit Jane Birkin : "Anno wrote Close to the River for his mother" [Remember Anno, by Catherine O'Brien, You magazine - Nov. 30th, 2003)]

Jane Birkin, Arabesque, disque Capitol (2002)

(Merci à Marie-Cécile O. pour son précieux coup de main )

vendredi 13 mai 2011

VOYAGES A BARCELONE ET A ST JACQUES DE COMPOSTELLE

Parc Guëll - Gaudi (Barcelone) photo Roland Comte

Je viens coup sur coup de faire deux voyages, l'un à Barcelone, en tant qu'accompagnateur des élèves du collège. Je ne connaissais pas du tout Barcelone. C'est une ville étonnante, qui a une personnalité qui est très particulière. Je connaissais Antonio Gaudi, comme tout le monde, mais je n'avais vu ses réalisations qu'en photo. Là, je les ai découvertes et j'ai été vraiment fasciné. J'ai d'autant mieux apprécié que nous sommes allés au Centre Gaudi de Reus, sa ville natale, qui permet de mieux comprendre la démarche de ce génial architecte. Nous sommes aussi allés au Théâtre-Musée Salvador Dali de Figueras, que je connaissais déjà par deux visites précédentes, mais j'y ai encore découvert des oeuvres ou des détails d'oeuvre que je n'avais pas encore appréciées. Nous sommes aussi allés à Tarragone, où j'ai revu les murailles cyclopéennes qui dominent la ville et découvert ses vestiges romains.

Puis, à peine revenu de Barcelone, je repartais pour Saint-Jacques de Compostelle dans le cadre d'un voyage organisé avec mon association Cévennes Terre de Lumière.

Enfin, ce jeudi 12 mai, était un grand moment puisque l'Atelier théâtre du collège le Portalet, où je travaille, participait à la Journée réseau au Théâtre de Privas, en compagnie de 450 autres collégiens et lycéens de la Drôme et de l'Ardèche pour présenter un extrait de la pièce que nous préparons depuis un an "La guerre de Troie n'aura pas lieu" d'après Jean Giraudoux, sur la scène et les sous les projecteurs  du Théâtre de Privas. Quel stress... mais de belles émotions aussi et un grande fierté d'avoir vu nos élèves "assurer" comme des pros !    

Vous voyez que, depuis le 27 avril, date de mon dernier post, je ne me suis pas vraiment ennuyé et vous comprendrez (et m'excuserez, j'espère) si je n'ai pas donné de nouvelles à mes fidèles lecteurs...

Laissez-moi quelques jours pour développer et vous faire part de mes "coups de coeur" récoltés au cours de ces pérégrinations culturo-spirituelles...